Les cartes se montrent. [Jour 2]

Comme je l'avais ordonné le serviteur vint me réveiller. Avant qu'il puisse partir pour s'acquérir de son autre ordre, je le stoppa. Je pris une feuille de papier et une plume. J'écrivis un message puis plia la feuille en quatre que je tendis au serviteur avec ordre de la donner à Aurore. Je m'étais dirigé vers la cuisine où cette fois, j'ordonna que le déjeuner de l'impératrice et le mien soient servis sur une table au balcon qui donnait lieu sur les trois phases de l'arrivé du jour et de l'océan. D'ailleurs, je me dirigea vers ce lieu où j'attendis ma femme. J'avais ordonné aux garde de ne laisser personne d'autres venir ici sauf elle et les serviteur apportant le déjeuner.

Le message:

Spoiler:

Trois phases de l'arrivé du jour:
Aube -> Aurore -> Lever du Soleil.

Irfan avait quitté la demeure d'Aurore. Et profita de de son temps libre pour se promener dans la ville insulaire.
Il fit un peu le tour de ce qu'il y avait a voir, marchés comme port. Et bien qu'aillant voyager, il ne pouvais s'empêcher d'humer l'air iodé, et d'admirer le paysage de l'archipel.

Se tenant le dos contre un bâtiment, une orange en main, il observa la vue que lui offrait son emplacement et en profitait pour ce détendre sous les rayons du soleil.

... Il n'y a pas a dire, rien ne vaut l'ordinaire...

Sous cette constatation, venait le fait que contrairement a Malik , lui n'était pas plongé dans les mysticisme et l'ésotérisme. Il était certes un noble et un assassin, mais surtout un humain. Un humain qui n'aimait pas vraiment le surnaturel, mais s'étant auto-forcé de suivre son cousin, il se vit contraint de l'accepter. Alors qu'il dégusta son orange, une voix l'interpella.

Bien Irfan était visiblement trop occuper a sa contemplation, pour répondre. Puis au bout de la deuxième fois, il réagît et tourna la tête... et à quelque centimètre de lui, se tenait une jeune fille un peu plus jeune que lui. Et c'est tous naturellement qu'il sursauta, surpris par sa négligence.

... Oh, je suis dessolée. Je ne voulais pas vous effrayé Seigneur Irfan. hihi.
... Vous... ah oui... vous êtes la demoiselle de la fête d'Erbma... mmm... Mademoiselle Vandegard.

Elle exécuta une révérence.

Oui, Rudhelyn Hortense Vandegard, c'est un plaisir de vous revoir, Comte.
... Le plaisir et pour moi... mais dites-moi, que faites vous ici, Mademoiselle Vandegard?

La jeune femme se ventila avec son éventail, et observa le paysage.

He bien, figurez-vous que c'est une historie tout-a-fait cocasse... nous, avons été pris dans une tempêtes et nous ne savons par quel miracle, nous avons échoué sur cette archipels. Ma mère c'est entretenue avec l'Impératrice des lieux, et elle a accepter de faire réparer le navire de pere. Maintenant, les réparations sont a présent finie et nous faisons des provision pour reprendre notre voyage. Et vous ?

Moi ? Je suis un invité de la dirigeante des lieux.... sinon, votre père est capitaine?
... Non, enfin si, le bateau lui appartient, mais il est Gouverneur d'une région à Ombre-Terre... et je tenais de profiter de ma lune de miel, pour aller le rejoindre.
... Ah vous êtes mariée?... Mes félicitations.
Merci... mon doux et tendre Ephryam est partit faire un tour.

Le nom fit réagir Irfan. Mais essaya de ne pas le faire remarquer.

..."Ephryam"... comme "Ephryam Zacharek ?"
Oui... vous le connaissez ?
... Oh, juste de nom... ... Bon, ce fut un plaisir, mais je vais rentrer, j'ai un voyage qui m'attend et il faut que je mette certaines choses au point...

Il exécuta une révérence et quitta "Madame Zacharek", avant que les choses ne se corse. Il ne lui fallut pas longtemps pour retourner à son point de départ.
Peu après, un jeune homme du même age qu'Irfan, s'avança vers Rudhelyn

Alors ma chère, la vue vous plait ?
... Oui, et la compagnie y est agréable.
Ah?... Vous avez fait la connaissance de quelque personnes, ma chère?
Oui... un Comte. Un homme charmant et distingué.
... eh bien, je suis heureuse que vous vous amusez... mais nous devons y allez. Votre père nous attend, et vous verrez. L'ile d'Eivissa est magnifique à cette peroide de l'année.
Et, peut-être pourrons-nous aller à Marrakech? Mere m'en a beaucoup parlé, et j'aimerais y faire du tourisme.
Tout ce que vous voulez ma douce. Si le temps nous est propice, je vous promet de vous y emmenez.

Il tendis alors son bras a sa promise et que le pris, et le suivit vers embarcadère.

Un jours plus tard.

Malik se tenait dans sa chambre, une montre a gousset en main. Elle était monté en or, mais disposait d'un cadrant peu banale. Les chiffres étaient remplacé par des symbole et le nom "Aurore" y était gravé de façon magique.

...Plus que cinq heures avant l'accouchement d'Aurore...

Les aiguilles, elles, descendait en compte a rebours.