Turquie - Ni vu ni connu

Dans une immense étendu de terre aride, un flash de lumière éclaira la noirceurs ambiante. Deux silhouettes tombèrent au sol, dans une chute de vingt centimètre, libérant un petit nuage de poussière.

Kof! kof!... Bon, je crois que nous somme arrivé.

Le Comte regarda dans les alentour... Il faisait nuit et froid, mais surtout nuit.

Mince, on a pas atterrit dans un désert, au moins...

En examinant l'horizon, Irfan repéra des lumières au loin, à trois cent mettre d'eux. Apparemment, il y avait une ville dans les alentour, et elle devait être assez grande pour être vu.

Bon, mettons-nous route.

Constantinople 21H10

Le duo s'avança devant l'imposante porte de la ville, gardé par deux soldat. L'un des deux s'avança vers le duo et les regarda, puis se mit a parler a coéquipier en turque. Puis finalement, il les laissa passer.

... Sympa l'accueil... enfin, l'important est que nous sommes rentré... Oh.

Des soldats courait dans tous les sens, lorsqu'une détonation se fit entendre. Tous le monde était paniqué, et apparemment a raison. La ville subissait une attaque nocturne.

Qu'est ce-que... ? Mince. On a bien choisit notre moment pour partir en vacances.

Le Comte regarda de gauche a droit, histoire de trouver un endroit ou se cacher... et finit par en trouver un, avec en plus une vue sur la ville.

Suivez moi!

Traversant la place de façon discrète. Le binôme traversa la ruelle, et arrivèrent dans un édifice en hauteur qui leurs révéla une scène de bataille. Ou plusieurs navires bombardait a coup de canons la ville. Tandis que des navires ottomans essayait tant bien que mal a les repousser.

J'avais suivi Irfan à travers ce bordel. Misère. Pourquoi il faut toujours qu'il m'arrive des trucs? Puis l'appel de Regdar eut lieu. J'en grommelais encore ajoutant à mon malheur d'aller à une ville une journée où elle se fait attaquer.

Je crois qu'on va rester ici en attendant que ça finisse. Après, on ferra l'étape 1 du voyage. On y ira acheter un manoir intact... si possible. J'ai vraiment pas de chance. Irfan, tu crois que je suis maudit? Sérieusement, je crois qu'il m'arrive trop de malheur...

... Hm, les malédictions n'existent pas dans ma culture. Mais nous croyons, en partie, au destin et à ses caprices. Et pour ce que j'ai vu, vous avez vraiment attirer le destin... ce qui est pas plus mal. Dans mon pays, c'est signe d'un destin rare. Ce qui vous arrives montre que Dame Fortune a des vue sur vous, que vous avez sont attention. Si vous vous débrouillez bien, ou trouvez la bonne méthode pour lui plaire, alors vous pouvez influencez votre destinée e façon positive, voir de voir vos souhait se réaliser.

Irfan se tenait a genoux, sur le bord du toit du bâtiment. Mains au dessus des yeux, il essayait de suivre l'action. La bataille navale faisait rage, et les navire brulèrent et coulèrent sous les tire de fléches enflammées et les canonnades.

... Hm... je vois trois drapeau. Je vois "une sorte d'oiseau noir, peut-être un corbeaux... ou un aigle, a deux têtes tenant un marteau et une faucille". "Un lion ailé tenant un livre"... et l'étendard de la ville ou nous somme.

Il quitta un peu sa position et fit face a l'Empereur.

Bon... le dernier drapeau est celui d'ici. et le premier et le deuxièmement je sais pas... ... dites, vous qui etes d'Ombre-Terre, enfin je crois, ça vous dites quelque chose "PAX-TIBI-MAR-CE-E-VAN-GELI-STA-MEVS "? C'était l'inscription sur le livre du lion.

J'avais reconnu les deux drapeaux et la devise latine. Des longues années de voyage, c'est pratique. Ces maudits Veniciens... Ils n'auraient pas pu faire du commerce avec leur ville flottante au lieu d'attaquer? Je décida de mentir à Malik. Il n'est jamais bon de revenir sur le passé... surtout un mauvais.

Première fois de ma vie que je viens en Ombre-Terre. Tout ce que j'en sais, je l'ai lu dans des livres donc je ne connais pas ces régions et cette devise. Autre chose dont faudra que je me renseigne. Concernant mon destin, j'ai toujours eu de la malchance même dans mon enfance. Bizarrement, je ne connais de toi. En attendant la fin de cette bataille, je suppose qu'on peut discuter.

Hm ah bon? J'aurais cru...

Le fait d'avoir ressentir un changement dans la réaction de Connor, renforça ses suppositions. Néanmoins ça lui importait peu, tout le monde à des secrets et libre à chacun de les révélé.

... Vous voulez... discutez avec moi ? ... Bah, je suppose que je peu répondre a quelques questions et parler un peu avec vous en attendant que l'ambiance ce calme.

Il se retourna vers la bataille et continua a observé.

Bon! Dites-moi ce que vous voulez aborder.,, tout, du moment que l'on ne discute pas surnaturel... j'ai eu ma dosse pour ce mois ci. ^^

J'eus un sourire.

Dire que je croyais que tu étais habitué à tout ça vu que Malik fait du surnaturel justement. Le destin est fourbe. On passe une vie totalement normal sans magie, sans surnaturel. et Hop, tout apparaît subitement au point qu'on en devient vite dépassé par tout cela. D'ailleurs, en parlant de fourberie, je suis prêt à parier que tu n'es pas réellement le cousin de Malik. Je connais plutôt bien cette famille et tu n'y ressemble vraiment pas par l'apparence et la personnalité. J'ai côtoyé Rec et Aurore qui avait de nombreux secrets, deux fourbes et je crois que tu n'en as pas une once en toi du moins, d'après ce que j'ai vu.

...Irfan n'apprécia pas la réflexion de son collègue... néanmoins, en tant qu'assassin d'élite, il ne montra rien et le prit avec le sourire.

HAhahahah... Non, mais je comprend. l'on ne dirais pas que nous sommes de la même famille... mais c'est pourtant le cas. Ma mère et la sœur de la mère à Malik, Dame Hajalida. Vous savez Malik n'est pas 100% Ambrien. Si son Père est le Roi d'Ambre Random, Dame Hajalida était, elle, une des ses favorites.

Il fit une pause et se retourna, croisant les bras et les jambes.

Mon cousin est de fils de Dame Hajalida, la fille du Marquis Eléazar de Thanakh, une nation des Terres Extérieures. Qui, un jour, l'envoya en voyage diplomatique a Erbma. il parait que c'est là qu'elle rencontra le Roi Random, il y a 30 ans. Moi, personnellement, je suis né dans une famille allié au Marquisat de Tanakh, le Comté d'Arames. Depuis la fondation des États Nobles des Sables, le cadet des fils sert l'héritier du Marquisat de Tanakh, et devint son majordome en quelque sorte.
Malik est moi sommes cousin maternel, même si je n'ai pas moyen de le prouver. Et puis...

Il regarda le ciel étoile, et fit face a l'Empereur.

... Et puis, même si je n'aurait pas lien familial avec lui, je l'aurais servit. Malgré son air un peu glacial, c'est quelqu'un de très sympathique. Même si doit avoué que par moment il se montre plutôt sinistre. Mais je pense que c'est parce que contrairement a moi, il a été baigné dans le mysticisme depuis sa jeunesse. Sinon vous avez d'autre questions à propos de moi, ou de Malik, enfin "Adonai"?

J’approuvai de la tête la dernière partie. C'est vrai que Malik est un cas plutôt particulier.

Je n'ai jamais trop compris ces héritages différents dans la noblesse. Un autre sujet auquel je dois me renseigner surtout si on doit régler le problème qu'est Martin vu qu'il a des fils. Assez parler de vous deux. Libre à toi de me poser des questions. Sinon, ça se passe comment à l'extérieur? Faut se préparer vite pour éviter que l'étape 2, dont j'en dirai plus tard, nous passe sous le nez.

je vois, c'est compréhensible. Du au passé et près de 900 ans d'histoire qui relie les différente juridiction des États Nobles, un lien complexe c'est développé.

Il regarda la bataille qui commençait, petit a petit, à prendre fin.

Hmm... apparemment, la ville a réussit à repousser l'offensive... ... dites moi, qui vous à apprit à vous battre, votre majesté? Car j'ai ressenti que vous aviez de très bonnes notions dans l'épéisme... autodidacte ?

Disons que c'était de l'entrainement familial entre frères quand on avait du temps libre. Si mes souvenirs sont bons, on faisait ça pour jouer avec des branches d'arbres. À un moment, les branches se sont cassés alors on a continué à monter pour finir avec les épées. À force de combats, on apprenait de nouvelles techniques. Puis à un moment, je suis parti. Là, je fais de l'entrainement de temps en temps juste pour ne pas perdre la main.

Je me leva de ma position et m'étira un peu les genoux.

Bon, je suppose qu'on peut aller acheter ce manoir et préparer la suite du plan.

Oh je vois... bon, je crois en effet que l'on peut y allez. Les forces adverses semblent se replier... le danger est partit

Irfan se mit debout et avec Connor, quitta le toi de bâtiment.

02H19

Le binôme marcha dans la rue un peu dévasté par l'attaque. quelque soldats et gents circulèrent dans les débris de muraille qui s'était en partir effondrée sur la place publique.

Hm... il fait encore nuit et la ville à subit une attaque. Je ne sais pas si pour l'instant le plan pourra se réaliser. Je pense qu'il va falloir attendre que l'ordre revienne. Peut-être devrons nous trouvez une auberge pour se reposer.

Malheureusement, une auberge serait encore plus dangereuse. Je le sais par expérience vu que j'ai voyagé de nombreuses années. Crois-moi avoir tout de suite un manoir serait mieux. Les voleurs sont souvent présent dans les auberges. Là vu qu'il y a eu une attaque et des maisons détruites, la population vont se précipiter là-dedans. Tu as bel et bien deviné ce que j'ai dans ces sacs. Je ne veux pas courir le risque de perdre ça sinon il faudrait retarder le plan que l'attaque a déjà fait.

Je me mit à la recherche d'un manoir parmi la ville. Par chance, dans cette grande ville, j'en trouva un qui n'était pas trop endommagé.

Celui a l'air parfait, mais petit problème où pouvoir l'acheter? Je n'ai jamais acheté de maison de ma vie. Habituellement, j'en fais construire une, mais nous n'avons pas trop le temps pour cela.

Irfan était un peu largué... lui non-plus il n'avais jamais acheter de manoir, au pire on lui construisait un palais mais après.
Instinctivement il regarda un peu les alentour pour voir si il y avais un indicatif comme un panneaux avec un numéro de téléphone te un "FOR SALE" écrit en grand. Les gens dans la rue ne semblait pas faire attention au duo.

Bon... il ne semble pas y avoir de cordonnée...

Le Comte ouvrit la porte qui visiblement n'était pas verrouillé et s'engouera dans la demeure. Il inspecta les pièces et ne vit aucun signe de vie. Alors qu'il s'apprêta a sortir un homme âgé se tient devants lui.

Sen kimsin? Ne yapıyorsun burada?
... hm, vous vous adressez à moi... vieil homme?
Yağmacılar, Yağmacılar!
Hé , nul besoin de crier.

Soudains, plusieurs personnes s'avancèrent vers eux, dont un garde. celui-ci pointa sa lance vers Connor et Irfan. Le garda s'adressa au duo d'une voix ferme et sévère, du style intimidant, en arabe. Irfan nota que le langage utilisé était plutôt similaire au sien, néanmoins la syntaxe changeait rendant la phrase peu compréhensible.

... C'est bizarre... ce langage ressemble à ma langue maternel... (mais en oubliant des articles et avec une reformulation alambiquée). Je vais tenter quelque chose.

Irfan se mit a parler en allamahique, la langue des États Nobles, mais le garde ne semblait pas le comprendre. Et il rétorqua a Irfan dans un langage que lui non plus ne comprenais pas.

... Ça sert a rien, on arrive pas a se comprendre. Mais pourtant ce langage m'est familier... arg, réfléchissons...

Le vieil homme, visiblement excédée se mit a parler en turque au garde qui répliqua par un hochement de tête. Puis s'adressa au Comte toujours en arabe. Soudain ce fut le déclic pour Irfan qui essaya quelque chose de cette fois plus concluant.

Oh! Je crois... oui, oui... je parvint à le comprend.

Il se mit alors a parler au garde qui écarquilla les yeux,

D'accord je vois...! je me disait bien que je connaissait ça... donc si je...

Continuant a exprimer, le garda baissa son arme et regarda le duo, puis le vieil homme. D'ailleurs celui-ci avait aussi répliquer dans la langue du garde.

Il tourna la tête vers Connor.

C'est bon tout vas bien... je leur ai expliquer la situation. Enfaite ce n'est pas très compliqué. A l'école nous faisions des exercice d'éloquence en alternant certaine partie de phrase que les autres devait remettre en ordre... et j'étai plutôt bon.

Finalement, le garda partit et le vieil homme discuta avec le Comte. Finalement après plusieurs minutes de parlotte, Irfan traduit.

Alors cet homme, est le gardien de la demeure, et qu'il faudra s'adresser directement au propriétaire qui est... absent. Apparemment, il est partit voir le "Soulṭân" Suleymān ier. Apparemment c'est le dirigeant de la ville.

J'écouta tout ce bordel. Je crois que j'ai bien fait d'emmener Irfan.

Je crois que j'ai bien fait de t'emmener. Je savais que vous risquez de parler un peu la même langue grâce à ... Comment elle s'appelle déjà? Kera? Keire? Ça fait longtemps que je l'ai rencontré... lors de mon court séjour à Meşmehîr en fait.

Soupir.

...Propriétaire chez le dirigeant de la ville après une attaque... À croire que le destin est toujours contre moi. Manquerait plus que mon fils ait un accident ou que Regdar ait transformé l'Empire en dictature. Bref, nous allons attendre sagement ici. J'espère que tu as rechargé le gousset.

Hm, pour être plus précis il est partit demander dédommagement au Sultant... il avait fait assuré la demeure. Mais il semblerais qu'il serais disposer a écouter une éventuelle offre.

Irfan sortit le compas et commença à le charger.

Je pense que, au vu de l'agitation régnante, vous pourrez marchander la demeure, si vous vous appuyez sur éventuelles attaques de la ville.

Finalement, après une heures d'attente, un homme richement habillé, s'avança vers le duo. Il était accompagné d'un autre homme tenant dans sa main un parchemin et une plume de colombe. Les deux homme firent signe au duo de s'écarter. Ce qu'Irfan et Connor firent.
L'homme discuta en turque avec l'autre qui prenait des notes, apparemment il évaluait et répertoriait les dégâts.
Et alors que tout était calme, le riche homme commença a hausser la voix sur le fonctionnaire.

Le Comte préféra intervenir. Ils n'avait pas vraiment le temps d'attendre.

Excusez-moi, messieurs... An 'idhnak.

Les deux hommes se retournèrent et observèrent le jeune homme.

Excusez-moi... mais nous aimerons acheter cette demeure.

Le notaire et l'homme se fixèrent, discutèrent en turque, et finalement le riche homme répondit.

... il nous demande qui nous sommes, et pourquoi cette demeure nous interesse.

Dit-leurs que je suis un noble venant de très loin et que tu es mon employé. Désolé de te considérer comme ça, mais nous n'avons pas trop le choix ici. Barrière linguistique... Encore un coup du destin!

Je fouilla dans mes petits sacs et je sortis au moins trois pierres précieuses.

Dit-leur que je suis venu m'installer dans cette ville pour y établir un commerce. Dit-leur aussi que je suis prêt à payer les réparations et que d'autres de ces pierres pourraient sortir pour le manoir. D'ailleurs, Irfan, je te dirais plus tard la vraie raison de tout ceci.

Le Comte haussa les épaules. Après tout, un certain point de vue, il "servait" Connor. En tant qu'assassin, il n'avais pas de problème à joué le rôle.

Tres bien. Je vais essayé.

Irfan commença à parler dans un arabe presque parfait, quoi que certaines tournures et mots echapairent à l'homme. Celui-ci fut plutôt surpris et dévisagea Connor, avant de reprendre la discutions. Le Comte pris alors une pierre précieuse et accompagna ses mots par des gestes. Puis après, dix minutes, les deux homme se seraient la main.

Il accepte votre offre, ce manoir lui couterais en réparation de plus il a peur qu'une autre attaque survienne. Ce qui tombe bien, c'est qu'il vient de faire la déclaration comme quoi il vendait le manoir... et moins chère que prévu. Il a peur de ce faire voler en cour de route... Vous voyez, il n'y a pas que des mauvaises surprises. Il vous demandera que cinq pierre précieuse et il faut aussi s'adresser au notable qui l'accompagne, pour mettre a jour le registre.

Fait marrant, j'avais exactement 5 pierres dans ma mains. Deux d'entre elles n'étaient pas visibles. Il fallait en enlever une pour les dévoiler. Je les tendis à l'homme qui semblait être le propriétaire puis je me tourna vers Irfan et lui donna aussi un sac.

Tu régleras ça pour moi. Si jamais il demande mon nom, répond simplement Connor Britannia. Tu peux garder le sac. Cadeau. En même temps, tu en profiteras pour visiter la ville vu que c'est ta première fois en Ombre-Terre. Dans mon cas, je pourrais revenir plus tard. Sur ce, je vais aller faire quelque chose d'autre. À ce soir! Si à ton retour, tu ne me trouve pas. Va directement à Stormwind.

J'entra dans le manoir. Je me dirigea vers une pièce isolé puis je m'assis sur une chaise. Je sortis l'atout de Stip et le contacta.

Bonjour Stip. Mes félicitations pour ton mariage en Castille si je ne me trompe pas. Désolé pour la réplique d'Aurore d'il y a deux jours. Si tu n'es pas trop occupé, je souhaite te demander un avis sur une personne en particulier.

Après s'être mit à l'écart du combat, le Roi d'Espagne répondit finalement à l'appel , légèrement surpris de voir que c'était apparemment Connor qui l'avait connecter, puisqu'il ne voyait personne d'autre autour de lui.

- Je te remercie de t'es félicitions, Beau-frère, et ce n'est pas grave pour Aurore, je connais son caractère ....

Regardant un instant autour de lui, permettant du même coup au Mari de sa défunte sœur de voir la bataille, le Démon reporta son attention sur la discussion en cours.

- Non, je ne suis pas trop occuper. Alors, sur qui veux-tu avoir mon avis?

Irfan acquiesça et accompagna le notaire, régler quelque détailles.

Un peu plus tard.

Le Comte sortit du bâtiment royal. C'était labas qu'il avait réglé tout ce qui avait besoin de l'être. Et, fait amusant, il rencontra le fils de l'actuel Sultan qui le mena a son père et ce qui finit par une discussion entre noble, autour d'un thé vert. Et d'une invitation a souper à la table du Sultan.
Descendant les marches de pierre, il arriva dans la place publique, un grand lieu proche d'un imposant bâtiment, une sorte de mosquée que les autochtones appellent "Aya Sofya".
Traversant la place, mais en zyeutant le long des étales commerciales et des attraction touristique comme les charmeur de serpent, il se rapprocha de l'imposante mosquée.

Je me demande si je peut visiter le bâtiment.

Alors qu'il allais quitter la place, un couteau vola a quelque centimètre de sa joue, se plantant contre un mur à proximité.

D'accord, d'accord. Je ne m'approcherais pas de la mosquée.

Se retournant gentiment, un homme lui fit face, un homme qui possédait un vissage dure, un vissage que le Comte n'avais pas lu depuis un moment.

... Foutu destin!

J'eus un sourire nostalgique en regardant le champ de bataille. C'était donc contre Aragon... Je grommela quelque chose dans ma barbe puis je me mis à parler normalement.

Puisque tu as apparemment vécu des tas d'aventures avec Aurore, je suppose que tu connais son frère jumeau Regdar, un autre prince. Là, il utilise de puissante magie pour prendre le contrôle de mes royaumes. J'ai dû tout lui laisser dû à une menace qu'il m'a fait. De plus, je crois que je vais avoir besoin d'aide... Je voudrais savoir comment l'arrêter. Sinon je te souhaite bonne chance dans ta conquête d'Aragon. Je te conseille d'utiliser des explosifs. la Castille en est experte.

- J'ai déjà mis l'expertise des Castillais à bon escient, ne t'inquiète pas, Connor. En parlant d'expert, je te remercie pour le piège que tu avais mis en place dans la défense d'Ambre.

Puis Stip ce mit à réfléchir ... frère jumeaux d'Aurore ... le Prince à qui il avait prit les souvenirs ce souvenait de Redgar comme un enfant violent, mais plus où moins normal. Mais le Démon savait que si Connor avait prit la peine de rajouter "jumeaux" c'est qu'il sous-entendais "de même nature qu'Aurore.". Néanmoins il ne croyait pas que ça soit Morgothz, puisqu'il l'avait vu déjà au mariage et donc Connor l'aurait reconnu.

- J'accepte de t'aider, mais pour l'instant je n'ai pas grand chose à te dire. Je devrais le rencontrer en face à face où au moins avoir plus de détail pour vraiment savoir qui est vraiment ... Redgar. Car je crois que toi et moi savons déjà qu'il n'ai très certainement pas d'ici.

En revoyant l’emblème castillien et l'armée aragonnienne, des flot de souvenirs me revirent dans mes pensées. J'allais avoir grandement besoin d'alcool après cette conversation. Dire que je croyais mon passé enterré. La région d'Ambre avec ses problèmes familiaux fait revenir tout ça. Dommage que je ne peux pas trop la quitter à cause de mon fils...

Hm. Selon ce que j'ai vu et je sais de lui, il a une paire d'aile de dragon dans le dos. Il a trouvé du cristal pour enfermer les âmes. Il a créé une fausse Aurore très persuasive. Ha et les atouts permettant le contact avec lui s'ouvrent automatiquement. Je crois qu'il a enfermé l'âme d'Aurore...

Nouvelle vague de souvenirs... récents pour cette fois avec quelque anciens.

- Aile de dragon et pierre de capture des âmes dis-tu? Cela sonne familier ... et si c'est celui que je pense que c'est, il va venir à moi de lui-même pour me casser la tronche.

Car oui, la seul personne qu'il avait connu qui serait assez folle pour se faire greffer des ailes de dragon était quelqu'un avec qui il avait un passer plutôt rocailleux. Et si c'était L'AUTRE personne avec des ailes de dragons déjà rattacher au corps ... c'était pas vraiment différent.

- Bref, je devrais tout de suite commencer à me préparer ... soit à ce qu'il me contacte, soit à ce qu'il m'attaque. Car si c'est bien celui que je pense, il n'est pas du genre à rester tranquille longtemps.

Je grommela encore dans ma barbe. La dernière phrase m'avait fait penser à Martin quand il allait attaquer Ambre.

En attendant, je crois qu'il fait des problèmes à Stormwind. J'étais venu ici pour m'éloigner et préparer mon plan pour régler son compte à Martin, mais bon. Je crois Regdar a l'air plus urgent. D'ailleurs avec tout ceci, je me demande si je devrais ailler ailleurs et fuir tout ceci. C'est dans ces cas-là que les êtres vivants sont pris dans un dilemme.