Union d'un Empire

Suite au parole de Petrenko disant que la Reine d'Espagne avait elle-même dit vouloir s'allier avec eux, Stip avait assembler son armée et était parti en direction du continent Européen. Car si l'Empereur de Rio savait bien une chose, c'était qu'à cette époque de l'histoire, l'Espagne était diviser et donc il y voyait une façon facile de gagner quelque terre de plus : la Reine ne pouvait refuser son aide dans l'unification des territoires Espagnole et lui serait donc redevable ...

Bref, les bateaux de transport accostèrent sur les côtes de Castille, d'où les troupes se mirent à débarquer lentement, affichant leur drapeau bien haut dans l'espoir que les soldats en patrouille le reconnaitrais. Stip quant à lui c'était avancer au delà de l'armée, avec Petrenko, pour attendre une délégation d'accueil qui ne manquerais pas de venir.

- Espérons tout de même que c'était bien la Reine d'Espagne à qui tu as parler, Dimitri.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Lorsque les navires de Stip arrivèrent à vue des côtes Espagnoles, le drapeau de Stip fut très vite reconnu, et les quarante navire Castillens furent employé pour escorter les vaisseaux de guerres de l'Empire Brésilien. Rapidement mis sur les côtes, un arbalétrier Espagnole arriva prêt des navires, et, avec un porte voix s'élança :

Nous sommes ici pour vous escorter vers la Capitale Madrid! Notre reine sera sans aucun doute heureuse de voir ses alliées d'une guerre sans aucun doute! Bienvenu en Espagne, au royaume de Castille

- Eh bien, si vous êtes ici pour nous escorter, ouvrez la voie messieurs, nous vous suivons !

- Aller les gars tous en rang, on ce met en marche !

Aussitôt les soldats se mirent en rang, et en position de marcher, prêt à suivre les Espagnoles en direction de leur Capitale. Stip était déjà presser d'y être et d'avoir une petite discussion avec la Reine Maria ...

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Il fallut pas mal de temps avant l'arrivé de l'armée de Stip à Madrid. Ils furent accueillit avec quelques fleurs et divers pièce d'or pour avoir sauver la Reine Maria. Arrivant prêt du royaume, quatre chevalier vinrent chercher Stip et Petrenko, leur priant de les suivre pour les guider vers la reine Castillane. Cette dernière dans une robe aux cultures Occidentale et Orientale était assise sur son trône des couleurs chaude, un spectacle théâtrale en pleine représentation devant elle, montrant la reconquète de l'Espagne aux Musulman il y a de cela plusieurs décennie, mené par le père de Maria.

Une fois entrer dans la pièce, Stip et son bras droit regardèrent la pièce, attendant poliment qu'elle soit fini avant de commencer à parler, où alors que la Reine leur adresse la parole. Dimitri était très intéresser par la représentation, l'absorbant d'yeux avide. Stip quant à lui n'y jetais qu'un coup d’œil distrait, puisqu'il avait déjà vécu cette partie de l'histoire plusieurs fois.

Au final, la pièce se termina avant que la Reine ne leur adresse la parole, et ce fut donc le Roi Brésilien qui se présenta :

- Bien le bonjour , Madame. Permettez moi de me présenter ... je suis Stip, lle Roi de l'Empire du Brésil.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

En voyant l'empereur du brésil et Petrenko, Maria fut quelque peu surprise. Après tout cela faisait depuis peu de temps qu'ils étaient revenu d'Espagne, et leur arrivé aussi était surprenante, la reine pensant qu'ils seraient plutôt partit vers les territoire d'Amérique du Nord français ou Anglais. S'inclinant lorsque Stip se présenta elle répondit aussitôt :

Je suis la Reine Maria, fille de Ferdinand II ainsi que de l'ancienne reine Isabelle. Je suis heureuse de vous voir au sein de mon royaume, histoire de payer notre dette. Que puis-je pour vous, en Europe?

Le Roi Brésilien s'inclina lui aussi légèrement après l'introduction de la Reine, mais il ne put s'empêcher un léger sourire en coin, puisqu'il n'était pas venu pour demander service, tout du moins, pas pour l'instant.

- Vous blessez mes émotions à passer que je suis venu vous demander quelque chose, ma cher. En fait, j'avais entendu parler du faite que l'Espagne était quelque peu ... diviser.

Attendant un moment que Maria comprenne le sous-entendu de sa phrase, Stip poursuivit.

- Je suis donc venu pour vous aider à réunir l'Espagne sous une seul bannière.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

La reine Maria fut quelque peu surprise. Aider le peuple Espagnole à une nouvelle "Reconquista"? Et bien, cet Empereur était quelque peu impressionant. D'après les souvenirs de la reine, cela lui rappelait quelque peu un grand dirigeant Français...Charlemagne, enfin, uniquement sous certain point puisque Charlemagne était français et Stip avait l'aire brésilien. Dans tout les cas elle répondit à Stip.

Et bien, je serais heureux de savoir l'Espagne unis sous une seul bannière, Grenade reprise, le Portugal de nouveau appartenant à nous, et écraser nos voisin d'Aragon, se serait effectivement une belle chose, comme cela nous pourrions aider nos anciens camarade de France.

Stip savait très bien que la Reine Maria ne pouvait pas refuser son offre, mais il l'avait laisser parler pour que sa prochaine proposition ne soit pas rejeter immédiatement par la souveraine. Effectivement, vu ce qu'il allait dire, il avait préférer faire miroité les possibilités à la Souveraine d'abord , avant de citer la condition.

- Heureux de savoir que la possibilité vous plais , ma cher. Néanmoins, j'aimerais tout de même une chose avant que nous ne commencions l'unification de votre royaume ...

Sont second, Petrenko, allait probablement être plus choquer que la Reine par les prochaines paroles qui sortirais de sa bouche.

- ... j'aimerais que nous officialisions notre alliance par les liens sacrée du Mariage, ma Reine.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Surprise, la reine fut quelque peu déstabilisé par la demande de Stip. Reprenant après une longue respiration saccadé sa teinture de peau quelque peu bronzé par le soleil, elle annonça à Stip :

Et bien, je pense que ce serait effectivement une bonne chose. Et puis, je pense qu'effectivement notre union serait plus légitime pour mon peuple. Cela leur permettrait de savoir que leur reine va bientôt être choisis par les moeurs d'un grand dirigeant d'outre-Atlantique.

Puis, s'inclinant de nouveau à la personne qui allait bientôt être son futur mari elle continua.

Quand souhaitez que le mariage puisse avoir lieu, messire Stip?

Le Roi Brésilien fût presque surpris que la Reine accepte sa proposition tout de suite, mais il parvint à le cacher. Néanmoins, il se mit à réfléchir au moment qui conviendrais pour le mariage ... avant de se dire qu'en guise de bonne volonté il laisserait sa future femme choisir.

- Eh bien, ma Reine, puisque je suis celui qui est entrain de vous ... imposez? Ce mariage, je suis d'avis que vous devriez être celle qui choisiras quant aura lieu notre union.

Mais l'Empereur communiste espérait tout de même que cela serait le plus tôt possible.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Réfléchissant quelque peu sur la date qui serait la plus bénéfique pour permettre à la reine de se marier avec l'empereur brésilien qui avait le contrôle d'un continent entier, ce qui, effectivement une grande chose! Les Romains eux même n'y étaient pas arrivé, et même Charlemagne. Elle voulait un lieu qui montrerait que ce mariage ferait trembler tout le monde, par une victoire militaire totale.

Lorsque Grenade sera tombé, si vous le souhaitez, nous pourrons nous marier.

- Lorsque nous aurons repris la Grenade? Eh bien, qu'attendons-nous, très cher? Ce petit royaume illégitime de peu rien contre nos force réunis !

Aussitôt cela dit, l'Empereur ce retourna vers son second qui semblait encore choquer des répercussion que son simple acte de bonté envers les Espagnoles avait déclencher.

- Petrenko ! Vas rassembler nos hommes tout de suite , tu pars pour conquérir la Grenade !

-Tout de suite , Mon Empereur !

Le Général reprit aussitôt ses esprit en parti en vitesse pour assembler la force de 189 110 guerriers que Stip avait apporter avec lui.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Voilà quelque chose de fort censé! J'essayerais de vous envoyer le plus de troupes que possible. La défense des Maures sera rude face à vous, sans aucun doute, c'est pour cela que je vais envoyer une lettre au pape, espérant qu'il demande aux Templier de venir vous prêter main forte. Dans tout les cas, j'ai, ici même 50.000 Espagnoles qui seront prêt à vous soutenir dans votre lutte, et surement 20.000 prêt de la frontière pour maintenir l'ordre. Faites en bonne usage pour la bataille.

Elle avait espéré que Petrenko eu entendu le message avant de partir.

Petrenko avait entendu les paroles de la Reine juste avant de sortir de la salle du trône, et c'est donc pour cela qu'une vingtaine de minutes plus tard, 189 110 Brésiliens et 50 000 Espagnoles se mirent en direction de la frontière Grenadoise. À leur arrivé là-bas, le Générale expliqua la situation aux troupes frontalière, et bien vite, 20 000 Espagnoles de plus les suivais au delà de la frontière ennemis, direction la première garnison Grenadoise ...

Du côté de Madrid, l'Empereur communiste se tenait toujours debout devant la Reine, entrain de réfléchir si oui ou non il devait commencer à rechercher l'homme que Rec voulait qu'il protège ... mais tout d'abord il devait s'informer sur la situation de l'Europe.

- Bientôt la Grenade sera à nous, ma cher, mais en attendant, pourriez-vous me renseigner sur ce qui se passe en Europe?

Troupes dirigé par Petrenko :

189 110 Brésiliens
- 100 000 Guerriers épée + bouclier
- 89 110 Archer
70 000 Espagnoles
- 20 000 Lancier
- 50 000 Cavaliers

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Côté bataille :

Avec une avancé extraordinairement rapide mais couteuse en vie, les troupes de Stip réussirent donc à atteindre la capitale, Grenade, après des efforts acharné . Abordant bientôt effectivement le lieu des Maures, pour gagner Petrenko allait devoir employer une stratégie efficace pour vaincre. De plus une armée de Templier rejoignis Stip pour l'aider.

Offensif :

120 000 Brésiliens
- 400 000 Guerriers épée + bouclier
- 80 000 Archer
40 000 Espagnoles
- 10 000 Lancier
- 30 000 Cavaliers
150.000 Templiers :

Côté Madrid :

Réfléchissant sur la situation en Europe, elle essayait de se rappeler des changements important mais malheureusement, le stratège avait parler si rapidement qu'elle ne s'en souvenait plus, elle fit donc rechercher ce dernier, qui au bout de trente longues minutes arriva enfin.

-Cher stratège, pouvez vous nous dire les déplacements de nos camarade Européen?
-Dans l'est de l'Europe à part des déplacements de troupes et divers batailles navale gagné par la puissance de l'Empire Byzantin, c'est à l'Ouest que cela chauffe, depuis peu le Royaume de France est divisé par le royaume d'Aragon et des Anglo-saxon, un petit bout de terre résiste, en petite Bretagne, et une étrange personne depuis peu c'est élevé. D'après nos espions....Un certain Marc Peug, Templier.

Marc Peug, le nom sonnais familier ... il devait avoir rencontrer quelqu'un de ce nom avant. Maintenant, il se disait que c'était peut-être un signe : Rec était un nom qu'il connaissait bien, et donc il était logique que si il ne lui avait pas dit le nom de la personne à retrouver, c'était qu'il était sensée reconnaître le nom. Et surtout, c'était la première fois de toute ses visites dans cette époque qu'il entendait que quelqu'un de se nom ce rebellais contre les Anglais.

- Une situation très intéressante, je dois dire.

De sont côté, Petrenko était heureux d'avoir du renfort, surtout qu'il savait que les templiers n'était pas des tafioles sur le champ de bataille. Ainsi, il garde une stratégie de base mais qui avait le mérite de bien fonctionner quand la force offensive avait deux fois plus de forces en présence que les défenseurs ... foncer à toute vitesse dans un assaut frontale et laisser des guerriers derrière pour faire le ménage des survivants. Ainsi, tout les cavaliers partir à l'assaut avec le reste des troupes derrière.

120 000 Brésiliens
- 40 000 Guerriers épée + bouclier
- 80 000 Archer
40 000 Espagnoles
- 10 000 Lancier
- 30 000 Cavaliers
150.000 Templiers :
- 150.000 Cavaliers

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Le stratège trouvait cela étrange, mais après tout, il était un invité de la reine et devait donc se plier aux ordres. Il s'inclina donc avant de continuer de parler :

"Nos éclaireur ont d'ailleurs repéré divers mouvement Portugais le long de nos frontière, de même du côté d'Aragon, avec quelques groupement d'archer anglais. Je pense qu'ils essayeront bientôt de nous envahir, que dois-je faire?"

La reine aussi resta songeuse. Le Portugal était une cible faible, indépendante depuis peu, l'attaquer tout de suite permettrait de rapidement revenir vers Aragon.

"Attaquez directement le Portugal et renforcez nos défense du côté d'Aragon.
-Bien, ma reine"

Repartant tranquillement, le stratège alla donc donner ses ordres.

Bataille :

120 000 Brésiliens
- 40 000 Guerriers épée + bouclier
- 80 000 Archer
40 000 Espagnoles
- 10 000 Lancier
- 30 000 Cavaliers
150.000 Templiers :
- 150.000 Cavaliers

Défense :

150.000 Maures :
100.000 guerrier
50.000 Mamelouk

Les cavaliers s'entrechoquèrent dans un combat mortel, prenant l'avantage par leur surnombre et par leur puissance naturel, les Templiers ne firent qu'une bouché rapide des Mamelouk avant de repartir pour affronter les guerriers. Suivit rapidement par les autres troupes, il ne resta bientôt plus rien de l'armée de Grenade.

120 000 Brésiliens
- 40 000 Guerriers épée + bouclier
- 80 000 Archer
40 000 Espagnoles
- 10 000 Lancier
- 10 000 Cavaliers
150.000 Templiers :
- 100.000 Cavaliers

Défense :

20.000 Maures :
20.000 guerrier

Les Brésiliens arrivèrent derrière les cavaliers et achevèrent rapidement ce qui restait de l'armée Grenadoise. Une fois cela fais , 10.000 Guerriers Sud-Américaine décidèrent de rester derrière histoire de s'assurer que la population comprenne bien qu'elle faisait de nouveau parti de l'Espagne. Le reste de l'armée retourna immédiatement vers Madrid, Petrenko à la tête, pour annoncer la nouvelle aux future mariée.

Stip quant à lui n'était pas surpris d'apprendre que deux pays avait l'intention de s'attaquer à ce qui restait de l'Espagne. Après tout, un pays séparer en six n'a plus l'air aussi puissant qu'il l'était ... malheureusement, leur ennemis aurait une mauvaise surprise.

- Je vois que je suis arrivé à un moment opportun, ma Reine. Je n'ai aucun doute que vous auriez pu vous charger de la défense de votre nation ... mais maintenant, vous avez le pouvoir de faire beaucoup plus que cela ...

120 000 Brésiliens
- 40 000 Guerriers épée + bouclier
- 80 000 Archer
20 000 Espagnoles
- 10 000 Lancier
- 10 000 Cavaliers
100.000 Templiers :
- 100.000 Cavaliers

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Grenade était tombé, ce fut une grande fête, car après bientôt sept siècle entier, l'armée Maures avait enfin quitter totalement l'Espagne, ce qui prouvait qu'il fallait maintenant s'occuper d'unifier le reste du Pays. Du côté du Portugal, le nord tombé rapidement, les défenseurs Portugais furent obligé de finir en état de siège laissant à l'eau leur tentative d'attaque.

-Mouis, vous avez raison, messire Stip. Je suis heureuse de savoir que vous êtiez là au bon moment au Brésil et que votre général eu préféré s'allier à nous que nous détruire jusqu'au dernier. Je pense qu'une fois le Portugal pacifié, et le mariage effectué, nous pourrons aller vaincre Aragon et ces prétentieux d'Anglais...

Dès leur retour à Madrid, l'Armée sous le contrôle de Petrenko se prépara à repartir. Effectivement, dès que le Général eux annoncer la chute de Grenade, il reparti en direction du Portugal pour accélérer la conquête du pays.

De son côté, Stip ce demandais si les troupes déjà présente serais assez pour vaincre les Anglais ... après tout, le Démon savait que les Anglais n'était pas exactement la nation la moins militarisé du monde.

- Si vous permettez ma Reine, mon Général ira chercher quelque renfort durant le mariage, pour être sur d'avoir de quoi résister au Anglais ...

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Et bien soit alors, si votre général réussit à chercher des renforts cela sera des plus facile effectivement. La France mis sous contrôle, Aragon en allié, je pense qu'autre que le royaume de Castille et l'Empire germanique de nos voisins Teutonique, nous allons avoir de forte difficulté à survivre sans renforts. Mais nous devons dépêcher de nous marier. Une fois l'union sacré effectué nous pourrons lutter efficacement.

Priant un serviteur de préparer de quoi partir pour Grenade, la Reine se retourna ensuite vers Stip avec un grand sourier.

Stip se força à afficher lui aussi un sourire, après tout, c'était lui qui avait proposer l'idée.

- Oui, dépêchons-nous ...

Le Démon suivit donc la Reine en direction de ce que ces serviteurs avait préparer pour leur voyage, pendant que Petrenko , en pleine conquête du Portugal, avait le pressentiment que son Roi voulait qu'il aille chercher plus de renfort dès la guerre Portugaise terminer.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Le temps passa des deux côtés, une fois arrivé à Grenade, l'annonce du mariage fut donc annoncé, et les préparatifs commencèrent. Laissant quelque temps son futur mari, la reine Maria partie donc vers l'église chrétienne qui venait tout juste d'être réparé. Une homme étrange s'approcha donc de Stip, toussotant tout d'abord, il commença à parler :

Monseigneur, j'ai une requête de mes maitres à vous soumettre...

Du côté du Portugal l'avancé s'annonçait bien, malgré de forte pertes. Bien entendu les Templiers étaient maintenant partie puisqu'ils n'y avaient plus aucune raison de rester. Par la suite, Lisbonne encerclé, un nouvel assaut allait se faire. 50.000 Portugais il restait retranché pour seulement 75.000 dirigé par Petrenko. Fort heureusement, les attaquants du Portugal du départ vint rejoindre, grossissant de 20.000 les troupes de Stip

70 000 Brésiliens
- 30 000 Guerriers épée + bouclier
- 40 000 Archer
25 000 Espagnoles
- 12 500 Lancier
- 12 500 Cavaliers

Stip regarda sa future femme partir, avant d'être aborder par un homme mystérieux. Une requête hein? Le Démon ne doutais pas que cela serais quelque chose de pas très chrétiens ... mais depuis quand était-il religieux? Il savait que la plupart des Dieux vénérer par les humains n'existait pas, de toute façon.

- Une requête ? Allez-y, je suis toute ouïe ...

Du côté du Portugal, les troupes d'assaut c'était immobilisé à distance de la Capitale, comme si ils attendaient quelque chose ... Et c'est là que la flotte de Stip arriva en vu de Lisbonne et se mit à la bombarder d'Ancre gigantesque encore tournoyante autour de Harpon.

70 000 Brésiliens
- 30 000 Guerriers épée + bouclier
- 40 000 Archer
25 000 Espagnoles
- 12 500 Lancier
- 12 500 Cavaliers

168 Navires Harpons.

» Capitale de l'Empire Stipien