Conquête des Terre de Martin.

Le Général Petrenko était l'officier le plus gradé présent à Rio après le départ de Stip et Dorne pour Ambre. Ainsi, il étudiait la situation depuis un moment déjà, et il en était venu à la conclusion que leur meilleur chance de repousser Martin hors d'Amérique du Sud était de proposer un marcher au quelque Espagnole restant (même si il ne sait pas que ce sont des Espagnoles.

L'humain était donc entrain de se diriger vers ce qui restait de leur "2e ennemis" avec un détachement de 10 Cavaliers. Bien entendu, il portait un drapeau blanc pour signifier qu'il venait en paix pour l'instant.

- Je suis le Général Petrenko, en charge des Armée de notre Roi Stip. Je suis ici pour discuter d'un compromis entre nos deux armées ... où ce trouve votre chef?

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

L'armée Espagnole était fatigué, écrasé par Stip et grignoté par Martin, il ne restait plus que le Chili et une partie de l'Argentine dans les pays actuel. Llorsque des cavaliers de ceux qui les avaient malmené arrivèrent, ils acceptèrent tout de même de les emmener à leur chef, la reine Maria en personne! Elle avait voulut diriger elle même l'assaut. Elle accueillit Petrenko, avant de lui demander effectivement :

Pour qu'elle raison venez vous sur nos terres, général de l'armée ennemis?

Petrenko aurait pu être étonner de trouver une personne comme la Reine Maria sur le front, mais avec un Roi comme Stip, il avait apprit que parfois, la royauté pouvait être encore plus sanguinaire que les simples soldats. Néanmoins, le Général descendit de son cheval et courba légèrement devant la Reine d'Espagne , avant de se redresser et d'entrer dans le vif du sujet :

- Je suis ici pour vous proposez un marcher, Madame. Moi, Générale Petrenko, je m'engage à honorer n'importe qu'elle requête que vous avez, en échange de votre aide pour repousser le perfide Martin hors d'Amérique.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

La Reine réfléchissait, malheureusement, Maria trouvait que les deux ennemis se valaient, mais après tout elle n'avait pas reçu de proposition du troisième adversaire. Mais une alliance Espagnole et...Petrenko? Drôle de nom d'ailleurs, pas franchement espagnole, on dirait un nom de ce pays froid....La Russie oui! Dans tout les cas, Petrenko avait l'aire d'un meilleur partie que celui de cet adversaire étrange et inconnue.

Bien, nous acceptons, vous aurez un renfort de soixante cinq milles hommes, ainsi que divers navires de guerres. C'est peu, mais c'est tout ce que nous avons malheureusement.

- Nous parlerons de ce que vous voulez après cette bataille, alors? Car je ne crois pas que l'on puisse perdre plus de temps avant qu'il ne nous attaque...

Car Petrenko savait très bien pourquoi son Roi et son Second était parti, et il ne doutait pas une seconde que leur ennemis prendrais cette occasion pour essayer de les déloger d'Amérique du Sud. Ainsi il ne perdit pas de temps et retourna à leur campement en laissant ses dix cavaliers derrière lui. Quelque instant plus tard, tout le long du front, 246 100 Hommes sortirent de derrière leur fortification et se mirent en position d'attaque.

- Je serais prêt lorsque vous le serez, Madame.

Force de Rio :

246 100 Humains
- Général Petrenko
- 10 Gardes à cheval.
- 46 089 Cavaliers
- 80 000 Archer
- 60 000 Infanterie Lourde
- 60 000 Lancier

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Les troupes espagnoles commencèrent donc à se préparer, la force de frappe des Européen se mit rapidement en place, et les soixante cinq milles hommes promit furent en place. Sortant du campement, la Reine Maria put prévenir Petrenko que les troupes étaient enfin prêtes, et qu'elle espérait que l'accord allait être maintenu. Fortement efficace en tant que cavalier, c'était eux la puissance de frappe majeur des Espagnoles, suivit des archers et de quelques guerriers eux aussi prêt au combat.

Forces Espagnoles :

30.000 Cavaliers
20.000 Archer
15.000 guerrier :
5.000 guerrier armure lourde
5.000 guerrier épée et bouclier
5.000 guerrier ambidextre à la dague

Voyant que la force alliées était assembler, Petrenko ordonna à ses troupes de se mettre en marche vers le territoire ennemis. Pour l'instant, l'armée se déplaçait à un rythme lent mais cela était pour tous les garder ensemble : une fois la cible trouver, le Générale s'occuperait de repositionner les troupes au meilleurs de ses habilitée.

- Prions pour une victoire rapide, que l'on n'ai plus cette menace pesant sur nos têtes ...

Et surtout pour que le continent au complet leur appartiennent.

Force de Rio :

246 100 Humains
- Général Petrenko
- 10 Gardes à cheval.
- 46 089 Cavaliers
- 80 000 Archer
- 60 000 Infanterie Lourde
- 60 000 Lancier

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Durant toute la traversé du continent Sud Amérique appartenant à Martin, les batailles étaient des plus titanesque, parfois Martin reculait de plusieurs centaines de kilomètre, des fois il avançait tout autant. Les pertes furent énorme pour les deux camps, mais ce fut bien grâce à l'aide Espagnole que Stip put gagner face aux cent cinquante mille hommes de Martin et ses cent cinquante catapultes défensives. Bientôt le drapeau de Stip put être posé d'un coin à un autre, Nord, Sud, Ouest et Est du puissante continent qui devait normalement appartenir soit aux Portugais, soit aux Espagnoles d'un point de vue historique logique...

50 010 Humains
- Général Petrenko
- 10 Gardes à cheval.
- 10 000 Cavaliers
- 20 000 Archer
- 10 000 Infanterie Lourde
- 10 000 Lancier

3.000 Cavaliers
500 Archer
400 guerrier :
100 guerrier armure lourde
100 guerrier épée et bouclier
200 guerrier ambidextre à la dague

Rengainant son épée pleine de sang, le Général Petrenko descendit de son cheval et se dirigea vers ses alliées de circonstance. Au vu de la tournure des évènement, l'armée qu'il ne connaissait pas leur avait permis de vaincre et méritait donc effectivement qu'il tienne sa promesse de leur accorder ce qu'ils voulaient.

- Vos hommes se sont bien battu, Reine Maria. Maintenant que le plus difficile de notre accord est accompli, que voulez-vous de moi, gente dame?

Le Général semblait confiant mais il espérait tout de même que ce qu'elle allait lui demander de mettrais pas son Roi en colère.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Et bien, sachant que nous savons qu'il est inutile de rester ici vue le faible nombre d'homme qu'il nous reste, nous souhaitons pouvoir rentrer chez nous. Comme vous savez, nous sommes bloqué par vos navires, et le chemin de la côte Est d'Amérique du Sud serait moins couteux en ressource que nous avons que très faiblement déjà, alors que la côte ouest serait du suicide. L'afrique étant beaucoup trop vaste à passer alors que l'océan est nettement plus rapide. C'est uniquement la seul chose que nous souhaitions, avec quelque vivre bien entendu pour le voyage.

- Vous voulez retourner chez vous? Bien entendu, cela sera un honneur ... je peu même vous fournir les navires.

Petrenko c'était attendu à une requête pour étrange que cela, mais puisque cela était largement dans ses cordes, il était heureux de faire son possible pour accommoder ces fier guerrier qui lui vaudrait certainement une place d'honneur dans l'Empire.

- Si vous voulez bien m'accompagner jusqu'à Rio, ma Reine, je me ferez un plaisir de préparer le voyage de vous et de vos hommes. Pour qu'elle destination?

Ouvrant le pas, l'Armée de Rio se remit au pas de marche en directement de leur ville.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Bien, je suis heureuse de savoir que le marché est tenu, effectivement en Europe il n'y a que trop de pays qui ne respecte absolument pas leurs engagements diplomatique sauf si on les tue tous jusqu'au dernier...Dans tout les cas, merci.

Puis, les troupes blessé de l'Espagne reprirent leur chemin pour arriver à Rio afin que, bientôt ils pourront reprendre la route afin d'arriver en Espagne et protéger le pays natales de la Reine Maria.

Merci encore, si jamais vous veniez en Europe, passez par chez nous, nous serions heureux de vous accueillir en tant qu'amis du peuple et de la nation Espagnole.

[Stip gagne 100 hommes et 1 navire supplémentaire par jour]

- Je tâcherais de m'en souvenir, Reine Maria. Maintenant je vais aller préparez vos moyens de transport si vous m'excuser.

Quelque heure plus tard, après avoir rempli les navires de vivre pour les Espagnoles, le Général Petrenko revint vers eux.

- Vos navires sont prêt, Mesdames et Messieurs. Au plaisir de vous revoir.

Le Général s'inclina légèrement devant ses frères d'armes improvisée.

Messages : 188 Date d'inscription : 14/02/2011

Les troupes Espagnoles remercièrent leurs camarade d'une bataille pour ensuite repartir sur les navires. La reine Maria prit un navire de base sans prendre le plus raffiné, puis la petite flotte de protection partit donc vers l'Espagne, vers le continent Eurasiatique, soit l'Ancien Monde. L'armée de Stip s'était fait de nouveaux alliées dans ce continent, et cela pourrait porter ces fruits pour une future invasion de ce dernier. Dans tout les cas, le continent Sud Américain était tombé puisque les Espagnoles avaient laissé leurs territoire à Stip avant de repartir, bien entendu.